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islamisation de l'europe - Page 3

  • L’immigration et la mauvaise conscience européenne

    Bonjour chers amis,

    Aujourd'hui un dossier de notre ami José Castano ! Il ya longtemps que j'avais envie de vous le faire connaître! Voilà, c'est fait !

    Bien à vous !

    Le texte de JOSE

    « Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous ayons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » (Blaise PASCAL)

    Dés lors qu’il s’agit des relations entre pays développés et tiers-monde, l’Occident, et principalement la France, sont atteints d’un sentiment de culpabilité qu’entretient une classe intellectuelle et médiatique inspirée par l’idéologie mondialiste et le rejet du passé colonial présenté comme honteux. L’esclavage, le colonialisme, le capitalisme, l’exploitation sous toutes ses formes, que nous aurions infligés aux peuples du Sud, nous rendraient coupables à leur égard d’une faute irrémissible et leur confèreraient sur nous des droits : devoir de repentance pour les uns, pour les autres droit aux compensations, à l’ouverture des frontières, et demain bien sûr droit à une revanche méritée. Alors que sont expulsées ou dépossédées les dernières minorités européennes des pays ex-colonisés et notamment d’Afrique, il nous faudrait, au nom de ces « péchés » historiques, accepter et entretenir sur notre sol des flots de migrants venant de ces mêmes pays, y compris lorsqu’ils s’imposent chez nous en violant nos frontières et nos lois. Dans cette vision des choses, les coupables ne sont plus ceux qui renoncent à défendre nos valeurs, notre identité et notre territoire, mais ceux, qualifiés de « xénophobes », qui prétendent résister à un déferlement migratoire de plus en plus envahissant et arrogant. La manipulation idéologique s’appuie sur un arsenal législatif de jour en jour plus répressif. 

    Accueillir des migrants en surnombre auxquels nous n’avons à proposer que l’assistanat, l’économie parallèle et la délinquance, au nom de la compassion et du rachat de nos fautes présumées, est un faux argument auquel nos compatriotes cèdent trop facilement. L’alibi de la solidarité et de l’aide au tiers-monde ne tient pas : Les pays qui voient partir les migrants n’ont rien à y gagner sur le long terme. Le coût social d’un seul immigré africain en France permettrait d’en faire vivre et travailler utilement plusieurs dizaines chez eux. Aider les tricheurs attirés par le mirage de l’Eldorado français ne fait qu’enfoncer un peu plus leurs pays dans un sous-développement devenu chronique, car structurel. L’argent qu’ils envoient à leurs parents est investi dans l’immobilier de prestige (Bamako et Kayes, au Mali, sont entourées d’une ceinture de carcasses de béton abandonnées) ou sert à acquérir des biens de consommation importés au détriment de l’économie locale. Le « bon pain blanc », fabriqué avec de la farine de blé d’origine étrangère acheté avec l’argent des immigrés, a ruiné les producteurs de vivriers locaux, mil, sorgho et manioc. Les politiques dites d’aide alimentaire aboutissent d’ailleurs aux mêmes conséquences, déstabilisant des économies fragiles et poussant les agriculteurs à émigrer, dans un premier temps dans les mégapoles africaines devenues ingérables, puis en Europe. Les « transferts de technologie », autre argument souvent invoqué en faveur de l’immigration, sont de très faible amplitude car les retours au pays sont de plus en plus exceptionnels et les savoir-faire acquis en France par une main-d’œuvre non qualifiée au départ trouvent rarement un débouché en Afrique. Un éboueur parisien aura du mal à exercer ses talents dans la vallée du fleuve Sénégal, où, par contre, l’agriculture manque désormais de bras et surtout de débouchés rentables. L’immigration des cadres, dite à tort immigration « choisie » car elle n’est pas davantage maîtrisée que l’autre, est tout autant pernicieuse car elle prive l’Afrique de l’élite professionnelle dont elle aurait besoin pour enfin sortir de l’ornière. 

    L’immigration, conséquence du sous-développement et d’une décolonisation ratée, ne saurait en constituer le remède. Faire appel aux bons sentiments d’une opinion publique manipulée, mal informée et indûment culpabilisée, pour lui faire accepter l’intrusion sur son territoire d’une immigration envahissante qui tend à ruiner notre économie et à détruire notre identité, sans bénéfice décelable pour les pays d’origine des migrants, constitue une supercherie mortelle. Ce n’est pas en encourageant les comportements de fuite que nous contribuerons au développement des pays du Sud, bien au contraire. L’émigration est un choix personnel, qui ne confère aux migrants aucun droit. Les intellectuels, politiques, magistrats, gens d’église, de media, de lettres et du spectacle, belles âmes en quête de valorisation personnelle ou électorale, qui jouent de la corde sensible pour instrumentaliser la pitié des Français, se trompent ou nous trompent. A l’époque coloniale et après, alors que la France constituait encore aux yeux des Africains authentiques un modèle et un partenaire respecté, beaucoup d’entre nous avons participé, sur un terrain difficile, à la construction d’une Afrique prospère et digne. Nous n’avons, à ce titre, aucune leçon de générosité à recevoir d’apprentis sorciers et d’idéologues toujours prêts à dénigrer la France, pour soigner leur image politique et promouvoir leur vision d’une humanité hors-sol, grise, déculturée et amnésique. 

    Robert SCHILLING

    rjp.schilling@wanadoo.fr

    "La France est un pays qui s'est construit sur la diversité et sur l'immigration. Ça doit continuer." (Nicolas SARKOZY, alors Ministre de l'Intérieur, le Monde 08/04/2003)

    « L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre »

    (Aristote, Politique, Livre V)

    « Nous devons être fous, littéralement fous à lier dans ce pays, pour autoriser chaque année l’entrée de 50.000 personnes, qui seront à l’origine de la future augmentation de la population d’origine immigrée. J’ai l’impression de regarder ce pays construire frénétiquement son propre bûcher funéraire » (Enoch Powell – 20 avril 1968)

    Sous le titre « Stopper l’immigration, renforcer l’identité française », Marine Le Pen prévoit ceci dans son programme : « L’immigration non contrôlée est source de tensions dans une République qui ne parvient plus à assimiler les nouveaux Français. Les ghettos, les conflits interethniques, les revendications communautaires et les provocations politico-religieuses sont les conséquences directes d’une immigration massive qui met à mal notre identité nationale et amène avec elle une islamisation de plus en plus visible, avec son cortège de revendications. Le communautarisme est un poison contre la cohésion nationale. »

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    - Cliquez sur : SCOOP : Parrainages pour la « Présidentielle 2012 » - par Marc NOÉ 

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    - Cliquez sur ce lien : ¤ Immigration : dossier brûlant 

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    - Appel à soulèvement des immigrés musulmans contre la France
    http://www.petitsechodoran.com/flash-info/la-france-en-grand-danger-de-printemps-arabe,a3005645.html
     

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    Conférence sur : « LA KAHENA »

    (La fabuleuse épopée de cette reine berbère qui s’opposa au VIIe siècle à l’invasion arabe de l’AFN) 

    « Quinze ans après la mort du Prophète Mahomet, les armées arabes abordaient l’Afrique du Nord. Ce pays, jadis transformé par la civilisation romaine, en partie conquis à la foi chrétienne, va entrer dans l’ensemble, de jour en jour agrandi du monde musulman. C’est alors, que pour faire face à l’envahisseur, une femme va organiser la résistance berbère, réaliser la difficile unité du Maghreb et infliger aux cavaliers arabes de cuisantes défaites. Celle-ci, connue dans l’histoire sous le nom de La Kahéna, avait un caractère sacré. Il signifiait, la sorcière, la prêtresse, la devineresse. Elle possédait en effet un don prophétique et était vénérée de son peuple. Mais ses succès mêmes causeront sa chute…

    Durcie par ses victoires dans une orgueilleuse intransigeance, ne vivant plus que pour son clan, cette femme, si longtemps écoutée et obéie, ne pourra maintenir l’unité berbère et juguler les séculaires rivalités entre tribus. Dès lors, elle prédira son propre destin et, cernée par la trahison, verra dans un ultime baroud d’honneur tomber les meilleurs de ses compagnons. L’islamisation de l’Afrique du Nord était en marche… »

    C’est en s’appuyant sur les travaux des plus éminents historiens que le conférencier retrace avec l’émotion, l’amour et la passion qu’on lui connaît pour sa défunte terre française d’Algérie, l’extraordinaire épopée de cette « Jeanne d’Arc berbère » qui incarna avec tant de grandeur la folie d’indépendance et la fierté passionnée d’un peuple.

    - Cette conférence, organisée par l’association culturelle « Lettres de Sable », sera donnée par José CASTANO, lundi 27 Février, 20h, à la Maison du Combattant, 14, quai du Chapitre (rive droite) – 34250 PALAVAS LES FLOTS - Contact : 04.67.75.30.57 – e-mail : lettresdesable@gmail.com - Blog: http://lettres.de.sabl.over-blog.com 

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    Deux légionnaires français ont été tués, jeudi 29 décembre, en Afghanistan par « le tir délibéré d'un soldat afghan de l'ANA », l'Armée nationale afghane, ce qui porte désormais à 78 le nombre de soldats français tués en Afghanistan depuis fin 2001 (il y a également plus de 500 blessés dont certains ont été amputés). Le président de la République a « présenté à leurs familles et à leurs proches ses plus sincères condoléances en s’associant à leur douleur » tout en « exprimant, à nouveau, la détermination de la France à continuer d'œuvrer au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays et contribuer à son développement ». Dans un communiqué séparé, François Fillon a « salué solennellement le courage, le dévouement et le professionnalisme sans faille de nos militaires agissant aux côtés de leurs camarades afghans ». Et pendant que ces Messieurs « s’associent à la douleur des familles », nos soldats continuent de se faire tuer pour une cause qui n’est pas la leur, dans un pays soumis aux lois et coutumes féodale, hostile et étranger, et qui retournera aux talibans quand l’OTAN se sera retirée. A quoi auront donc servi tous ces morts ? Au nom de quel droit, de quelle éthique, de quelle loi sacro-sainte les aura-t-on sacrifiés ?

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    Pour revoir tous les articles de José CASTANO, cliquer sur : - Mes Articles -

    Ses ouvrages, cliquez sur : -Ma Bibliographie – 

    Ses conférences, cliquez sur : - Mes Conférences –  

    Sa biographie, cliquer sur : - Ma Biographie –

    - Adresse du blog : http://www.fn-cantonales.fr/34-jcastano/

     

  • Widad Belatel étudiante

    Strasbourg Capitale de l'Europe est une ville clé de la "Reconquista" Européenne. Il est d'ailleurs fortement question d'y tenir de nouvelles assises sur l'islamisation de nos pays, mais aussi sur les méfaits de la mondialisation et de sa connivence avec l'islamisme radical et conquérant.

    Monsieur Roland RIES, actuel Maire PS de Strasbourg doit son élection à l'indigence du tandem UMP qui le précédait et qui avait déjà largement engagé l'islamisation rampante de la citée.

    Le maire actuel n'en fini pas de courber l'échine devant les islamistes. et de faire le jeu de leurs complices du parlement Européen.

    Cela doit cesser.

    A Résistance Républicaine, en association avec d'autres groupes qui partagent majoritairement nos convictions, nous avons décidés de ne pas laisser Monsieur RIES conserver le pouvoir à Strasbourg et dans la Communauté Urbaine. Nous entendons le lui faire savoir et d'être les témoins objectifs de ses errements.

    Nous appelons tous ceux qui partagent notre indignation envers les irresponsables et les élites corrompues qui trompent  le peuple français à nous rejoindre et partager notre combat.

    Ci-dessous une lettre ouverte que nous vous prions de diffuser largement.

    Francis NERI   

                                                                                                              Monsieur Roland RIES

                                                                                                              Maire de Strasbourg

     Objet : Widad Belatel étudiante 

    Monsieur le Maire,

    Un article des Dernières nouvelles d’Alsace en date du jeudi 21 avril 2011 intitulé « Une étudiante algérienne expulsée » vient d’attirer notre attention.

    Widad Belatel étudiante en civilisation anglaise à l’université de Strasbourg, a été expulsée, semble t-il, vers l’Algérie.

    Cette expulsion est conforme au droit français et européen. Les voies de recours ont été respectées et la préfecture n’a pas renouvelé son titre de séjour étudiant.

    Que les éternels « bien-pensants » et politiquement corrects, comme le Réseau universités sans frontières, s’en prennent  aux représentants de l’autorité ou au Directeur du CROUS ne nous étonnent pas, nous sommes habitués à ce que ces individus incitent à la  transgression et la violation de nos lois, nos valeurs, nos codes sociaux,   

    Par contre ce qui a fait bondir et s’indigner nos adhérents, dont nombreux sont ceux qui, par leurs votes, vous ont permis d’accéder à la Mairie de Strasbourg, c’est l’inqualifiable comportement de votre colistier, militant et élu PS au conseil municipal, Monsieur Syamak Agha Babaei.

    Il semblerait que ce soit ce dernier qui ait conduit la fronde contre  les services de police, et tenu des propos inqualifiables envers l’autorité, l’Etat, le gouvernement.

    Monsieur le Maire, nous vous devons un certain respect en raison de la noblesse de votre fonction.

    Nous pensons toutefois devoir vous rappeler que vous-même et vos amis élus PS êtes tenus à un certain devoir de réserve et au respect de vos engagements envers vos concitoyens.

    Il ne semblerait pas que vous et les vôtres, y souscrivez véritablement. Aussi, vos électeurs ne manqueront pas de vous demander des comptes sur votre gestion économique, sociale, mais aussi sur votre volonté immigrationiste qui favorise la poussée islamique et que majoritairement ils ne partagent absolument pas.

    Vos administrés, en ne vous réélisant pas, souhaiteront vous éviter d’être tenté de construire de nouvelles mosquées, hammams ou écoles coraniques, en infraction avec la loi de 1905.

    Ils échapperont aussi à l’angoisse de voir s’accélérer, en raison de votre politique clientéliste envers les « baronnies » PS et associatives locales, la « délocalisation » interne et externe qui ruine nos entrepreneurs, appauvrit nos salariés et accélère la disproportion entre économie financière et économie réelle.

    Les prochaines échéances électorales verront apparaître un clivage qui ne passera plus vraiment par les partis comme le vôtre, leurs réseaux, leurs notables, leurs élites corrompues. 

    L'enjeu de 2012 est clair, la ligne de fracture passe entre ceux qui refusent la mondialisation néolibérale anglo-américaine, qui nous est imposée pour notre plus grand malheur, et ceux qui veulent des Etats forts et associés, capables de résoudre les problèmes que cette même mondialisation a créé.

    Une mondialisation prédatrice qui a favorisé l'émergence de l'islamisme radical et qui le démontre actuellement en favorisant un "printemps arabe" qui nous parait être, en fait, un printemps islamiste.

    Cette provocation, dont cet élu PS a endossé la responsabilité, permet à Résistance Républicaine et ses amis de vous informer qu’ils sont à la pointe du combat sur les deux fronts. La diversité de ses adhérents, qui appartiennent aussi bien à la droite la plus décidée  qu'à la gauche la plus dure, en est la preuve éclatante.

    Nous sommes dans le souffle de l'Histoire, et nous saurons l'utiliser au mieux pour nous rendre incontournables et peser, le moment venu, localement et nationalement, sur cette histoire en marche.

    D’ici là nous prenons bonne note de ce que nous considérons comme des comportements qui mettent en danger Strasbourg, la France et les Français. Le moment de rendre des comptes est proche et, nous serons au rendez-vous.

    Veuillez agréer, Monsieur le Maire nos respectueuses salutations.

    Francis NERI

    Responsable Résistance Républicaine Alsace

  • La causalité

    Mobiliser l’énergie affective.

    Afin de nous enrôler pour leur cause, les hommes politiques utilisent nos émotions. Leurs stratégies suscitent des réactions affectives et ainsi ils parviennent à nous mobiliser.

    Notre engagement est le résultat d'un  équilibre entre diverses formes de rétributions et la possibilité d’éprouver des émotions propres à la cause militante défendue.

    Rationalité et émotion sont donc en opposition, mais bon nombre de militants donnent plus qu’ils ne reçoivent. C’est ce qui détermine leur engagement et intéresse ceux qui les manipulent. 

    "Pour amener les gens à partager les préoccupations des autres, à s'intéresser à un problème qui n'appartient pas à leur univers personnel, il faut être en mesure d'établir un lien spécifique entre le problème en question et leur réaction émotionnelle", souligne George Marcus  .

    Il s'agit de susciter des réactions affectives qui prédisposent ceux qui les éprouvent à s'engager ou à soutenir la cause défendue 

    L’exemple de la crise qui secoue le monde arabo-musulman nous montre, également, l'importance des contextes historique, spatial et social qui contraignent, autorisent ou disqualifient l'expression de certains sentiments.

    Les occidentaux sont désemparés par cet éveil supposé des orientaux à la connaissance et à la raison. Il tend à les  libérer de leurs craintes  et leur fait croire que l’orient est prêt à se rallier à leur propre culture, celle qui les a façonnée au cours des siècles et qui fait, ou devrait faire, de la raison l’élément moteur de leurs réflexions.

    La recherche de la liberté individuelle, la démocratie, la justice sociale, serait la cause de la révolte. On peut y croire, si l’on oublie la démographie exponentielle, l’inculture des peuples, le chômage de masse, les ressources en baisse etc.

    Mais la causalité n’est pas une « loi naturelle » et il ne faut pas oublier que ce qui est qualifié de « cause » n’est pas obligatoirement lié à un « effet » et qu’une fois établie la relation, il ne faut pas oublier la rétroaction…des émotions …en particulier. 

    Nos « élites »  s’acharnent à interpréter des « causes » qui sont totalement « incontrôlables » et sont des relations de cause à effets parmi d’autres possibles. Elles leurs échappent en grande partie ; le « contexte » de l’islamisation du monde et celui de la mondialisation des échanges en particulier. Le G20 hélas, est et restera impuissant en matière de « régulations ».    

    « Les faits ne sont pas dissociés dans la continuité de la nature, qui n’est pas constituée de faits indépendants les uns des autres, à l’exception de ceux que nous, les humains, estimerions dépendants. » G. Bateson  

    La causalité est une invention satisfaisante, qui marche souvent mais pas toujours. Il est plus facile d’expliquer ainsi un fait passé que de prévoir un fait futur, d’aller dans un sens plutôt que dans l’autre.

    Ceux de nos politiques qui disent avoir appréhendé ce qui se passe au sein du monde arabo-musulman et qui nous assurent savoir ce qui nous attend nous prennent pour des imbéciles.

    Ils jouent sur nos émotions…soyons vigilants, l’affaire est d’une folle complexité et nul ne sait où nous allons.  

    Réfléchissons à la provenance des émotions, à la mécanique des passions. Les pensées dépendent de nous. C’est nous qui les inventons. 

    On maîtrise ses émotions en maîtrisant sa mémoire. A l’heure où l’on voudrait nous voir sombrer dans la culpabilité et la repentance, l’analyse objective de la causalité de nos actes et de nos émotions passés nous apportera sérénité, acceptation et pardon de nos expériences refoulées.

    Elle nous permet ainsi de bâtir un futur, les digues du passé construisant notre maison.

    Le monde aura besoin de notre sérénité.

    Non axiomes du systémicien :

    Changer en définitive c’est remettre tout simplement en question le clivage entre raison, émotions et connaissances et d’en rétablir les connections.

    On maîtrise ses émotions en libérant et en contrôlant sa mémoire.

    On échange une idée contre une émotion ce qui établi la relation avec la raison.

    On commence par imaginer son futur ainsi que le contexte qui va avec. Les autres que nous y placerons. Il faut ensuite l’étoffer virtuellement, y mettre de la chair, le rendre réel.

     

    Francis NERI

    Février 2011